Ma maison et vos chambres

Publié le par L'Ali-one

Hier au soir, je vois comme mon mari me présenter une personne à partir d'une photo, cette personne semble entrer en moi au niveau de mon cœur, mais elle a l'air comme de la pierre, ça présence me fait mal.

J'étais dans la chambre de notre couple dans notre maison à la montagne, et il y avait comme un banquet. Je reconnaissais un responsable RH et une équipe plutôt bienveillante, au milieu une certaine Sixtine entend derrière elle, va et casse sa brosse à cheveu, je le vois alors ce déplacer jusqu'à une salle de bain, prenant un objet, mais rien de plus a propos de l'objet, je vois juste alors que c'est un homme proche d'elle qui l'influence. Elle a pourtant l'air épanouie avec des yeux bleus rayonnants un instant, puis retrouve son allure habituelle.

Plus loin on veut faire rentrer mon cœur qui est envahit à l'intérieur par quelque chose qui me blesse comme de la paille de fer, de couleur orange, dans une chambre de type artistique avec du côté droit de la mosaïque en forme de vague bleu, doré, en face à côté du lit, positionné sur la droite, des tessons de bouteilles en décoration, qui me semblait faire mal à mon cœur, comme si le lit était mon cœur, à la tête du lit des dessins sur le mur de couleur rouge, orange, jaune. La décoration de la chambre, atypique, exprimé une grande agressivité d'un côté, un aspect vague de couleur reposante à l'entrée. Un aspect dangereux, blessant, instable, rouge meurtrier. Sur la couette comme des ombres imprimés de l'âme du RN. On aurait dit que cette couette était installée sur mon ventre et protéger en quelque sorte les tessons e bouteille qu'on enfonçait dans mon cœur. Les tessons ressemblaient à la dureté ciselante d'un cœur. Je pense que c'était la chambre de la NN, puisqu'elle était apparu chez moi suite à se rapprochement d'une photo.

48 heure avant, j'étais dans l'ancienne cuisine bleu de mes grands-parents, mon grand-père nous faisait un petit discours avant un départ, un peu comme une homélie, je voyais mon Oncle Côme comme habillé d'une tenue de prêtre rouge et doré, probablement; ma cousine Natacha de taille grande jeune-femme mais avec une tenue de petite-fille de 6 ans, tenue que j'avais trouvé aimé à l'époque, dont la taille avait été adaptée pour l'occasion. D'autres étaient présents, mais plus en retraits. On me dit que mon grand-père est entrain de préparer son départ. Je vois comme son esprit s'éloigner sur une croix à travers la porte-fenêtre de la cuisine dont les volets sont pourtant fermés et j'entends dans mon cœur comme un quand tu verras le croisement du volet et de la porte, tu te rappelleras de moi, est-est-ce un rêve prémonitoire ? Je crois plutôt que c'était pour me préparer car mon grand-père m'avait spirituellement protégé depuis l'âge de 17 ans, ma grand-mère s'était occupé de moi physiquement, lui spirituellement, ma grand-mère était partie il y a un an et lui se préparait.

Un jeune-homme surgit de mon passer fit croire dans les rêves communs de chacun ou de tous que nous avions consommé un engagement il y a 6-7 ans, or il n'en était rien. Un homme influencé parce que disait ce jeune-homme me dit alors, mais tu es alors de cette famille. Or non, l'engagement que j'avais pris définitif, avec mon montagnard, fut pris dans l'année de mes 31 ans. Le premier était très agressif, comme-ci le fait de m'avoir permit de rester vierge, touchait aujourd'hui à son honneur. Or en fait, il n'avait que fait ce qu'un jeune-homme de bonne famille fait, respecter sa très officieuse fiançée.

D'un seul coup, on voulait me donner un petite couronne, comme celle sur la tête des caricatures de la reine Victoria, sauf que celle-ci venait de la bête - donc rien à voir - elle était en pierre et on voulait qu'elle soit transmise de la NN à moi. On me dit "Tient prend là" en me la mettant sur la tête. Je la refusais, je savais ce que représenter ce piège. Il s'agissait de la couronne de la Grande Babylone qui va passer, celle qui asservit toutes les nations ou presque.

Vous n'imaginais pas l'harcélement d'odeur : liqueur forte, souffre, ordure que je pouvais vivre depuis quelques jours liés à des personnes qui voulait entrer en moi et qui n'était pas en état de grâce.

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